Château Durfort-Vivens Primeur | Margaux | Grands Vins de Bordeaux en Primeur

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« LE BORDEAUX »

Situé dans le prolongement des seconds Crus Classés de Margaux les Châteaux Rauzan-Ségla et Rauzan-Gassies, le vignoble de Château Durfort Vivens est enclavé entre les Châteaux Margaux et Palmer. Au cœur des meilleures croupes de Margaux, le cru tient son nom d’une contraction de ses propriétaires initiaux de la famille Durfort de Duras– seigneur de Margaux en 1450 – et du vicomte de Vivens neveux de la famille arrivé en 1766.

Ferru de grands crus Bordelais, Thomas Jefferson alors ambassadeur en France – quelques années avant de devenir Président des Etats-Unis – donne l’un des plus haut rang à ce cru du Médoc en le situant juste après Lafite, Latour et Margaux. Le classement demandé par Napoléon III en 1855 confirme ce jugement et Château Durfort-Vivens devient second Cru Classé.

Le cru changea plusieurs fois de propriétaires jusqu’à son acquisition par la société du Château Margaux en 1937. Alors principale actionnaire du 1er Cru Classé voisin, la famille Lurton travailla au château Durfort-Vivens alors considéré comme le second du Château Margaux étant vinifié dans ses chais pendant une trentaine d’année. Lucien Lurton travailla pendant plus de trente ans à restaurer ce vignoble d’exception avant de décider au début des années 1990 de céder toutes ses propriétés à ses enfants. Il céda ainsi onze propriétés à ses dix enfants tels que les Châteaux Brane-Cantenac, Durfort-Vivens et Desmirail à Margaux, Château Climens à Barsac et Château Bouscaut en Pessac-Léognan tous Crus Classés dans leur appellation respectives.

C’est son fils Gonzague Lurton qui pris dès lors à cœur d’élever le Château Durfort-Vivens où il modernisa l’exploitation avec la volonté d’exprimer les qualités de ce terroir unique. Sa philosophie « la recherche constante de l’équilibre naturel entre la vigne et le terroir » illustre parfaitement son ambition de tout mettre en œuvre « des vendanges à la mise en bouteille, pour que la matière première soit respectée de manière à ce que sa qualité et sa typicité puissent s’exprimer dans les vins ».

Dans le cadre de cette vision de la vigne, le domaine passe en 2012 en Agriculture Biologique, et cette attention portée à la vigne mêlée à l’expertise de l’œnologue Eric Boissenot mène le cru à une reconnaissance unanime par les professionnels et amateurs.

FILTRES VINS

Résultats : 7 vins : ( 7 millésimes / 1 appellation )