Le domaine se situe au Sud de la prestigieuse appellation Margaux à proximité immédiate des Grands Crus Classés, Châteaux Prieuré Lichine, Desmirail et Boyd-Cantenac. Les quarante hectares de vignes se trouvent sur les communes d’Arsac, Avensan et Cantenac ; et sont plantés sur deux parcelles différentes. La première bénéficie de belles graves et sables sur le plateau de Cantenac et la seconde se positionne sur des terres argileuses.
L’histoire du cru débute au XVIIème siècle avec Sir John Collingwood, l’un des premiers négociants en vins. Pendant près d’un siècle, il veille sur ce domaine alors appelé « de La Salle » et assiste à la renommée grandissante des vins de Bordeaux. En 1760, sa fille unique épouse Mark Kirwan, un seigneur irlandais. Ensemble, ils gèrent le domaine déjà réputé en Europe et font construire la chartreuse. Mark Kirwan lègue même son nom à la propriété en 1775. La propriété viticole connaît ensuite une renommée grandissante outre-Atlantique, grâce à la venue de Thomas Jefferson à Bordeaux en 1787 qui classe Kirwan alors orthographié « Quirouen » au rang de 2ème cru. Grâce à son caractère et son terroir exceptionnel, le classement officiel des Vins de Bordeaux de 1855 nomme Kirwan au rang de 3ème Cru Classé.
Puis, plusieurs propriétaires se succèdent ensuite à la tête du château jusqu’à l’arrivée de l’héritier Henri Schÿler dans les années 50 qui insuffle un véritable renouveau. Il décide de restructurer le vignoble, moderniser le chai, mettre les vins en bouteilles au château et créer un second vin dénommé Les Charmes de Kirwan. En 1990, il lègue ensuite la direction à ses trois enfants, Nathalie, Sophie et Yann, qui seront épaulés par les œnologues conseil Jacques et Eric Boissenot et de Philippe Delfaut en qualité de Directeur Général.
Ainsi au fil du temps, les différents propriétaires ont su innover pour mieux exprimer le caractère unique et original du Château Kirwan. Grâce à l’alchimie entre le sol, le climat, la vigne et le savoir-faire familial, de grands vins sont élaborés. Comme le souligne Robert Parker dans son commentaire pour le millésime 2010 auquel il attribua la note de 92+/100 : « Comme toujours, ce domaine produit de véritables blockbusters, avec un aspect masculin typique de l'appellation Margaux, apportant de la densité, puissance, corps, fruits et richesse. Ce vin puissant et concentré, d'une couleur dense pourpre, est musclé, profond et impressionnant. Les amateurs de vins ne pourront que s’accorder sur sa grande qualité ».
L’histoire du cru débute au XVIIème siècle avec Sir John Collingwood, l’un des premiers négociants en vins. Pendant près d’un siècle, il veille sur ce domaine alors appelé « de La Salle » et assiste à la renommée grandissante des vins de Bordeaux. En 1760, sa fille unique épouse Mark Kirwan, un seigneur irlandais. Ensemble, ils gèrent le domaine déjà réputé en Europe et font construire la chartreuse. Mark Kirwan lègue même son nom à la propriété en 1775. La propriété viticole connaît ensuite une renommée grandissante outre-Atlantique, grâce à la venue de Thomas Jefferson à Bordeaux en 1787 qui classe Kirwan alors orthographié « Quirouen » au rang de 2ème cru. Grâce à son caractère et son terroir exceptionnel, le classement officiel des Vins de Bordeaux de 1855 nomme Kirwan au rang de 3ème Cru Classé.
Puis, plusieurs propriétaires se succèdent ensuite à la tête du château jusqu’à l’arrivée de l’héritier Henri Schÿler dans les années 50 qui insuffle un véritable renouveau. Il décide de restructurer le vignoble, moderniser le chai, mettre les vins en bouteilles au château et créer un second vin dénommé Les Charmes de Kirwan. En 1990, il lègue ensuite la direction à ses trois enfants, Nathalie, Sophie et Yann, qui seront épaulés par les œnologues conseil Jacques et Eric Boissenot et de Philippe Delfaut en qualité de Directeur Général.
Ainsi au fil du temps, les différents propriétaires ont su innover pour mieux exprimer le caractère unique et original du Château Kirwan. Grâce à l’alchimie entre le sol, le climat, la vigne et le savoir-faire familial, de grands vins sont élaborés. Comme le souligne Robert Parker dans son commentaire pour le millésime 2010 auquel il attribua la note de 92+/100 : « Comme toujours, ce domaine produit de véritables blockbusters, avec un aspect masculin typique de l'appellation Margaux, apportant de la densité, puissance, corps, fruits et richesse. Ce vin puissant et concentré, d'une couleur dense pourpre, est musclé, profond et impressionnant. Les amateurs de vins ne pourront que s’accorder sur sa grande qualité ».
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