Jean-Luc Thunevin et sa femme Murielle sont deux autodidactes. Travaillant encore en tant que restaurateurs et cavistes, ils décident en 1989 d’acheter une micro-parcelle de 0.6 hectares dans le vallon de Fongaban entre les Châteaux Pavie-Macquin et La Clotte. Avec la contraction du lieu et du nom de jeune fille « Andraud » de Madame Thunevin, le nom de Valandraud s’impose tout naturellement en 1991 lorsque le couple signe sa première cuvée.
Malgré un millésime difficile dans le Bordelais, l’ambition est déjà annoncée : rivaliser avec les prestigieux Grands Crus du Libournais. Naît alors le concept de vin de niche plus familièrement nommé « vin de garage » avec une quantité confidentielle de 1 500 bouteilles produites soit tout juste 125 caisses. Ils ne le savaient pas encore avec certitude, mais les Thunevin venaient de créer un concept et surtout d’écrire la genèse d’un vin hors du commun.
En 1995, soit tout juste quatre ans après le premier millésime produit, les notes de Robert Parker atteignent celles des Châteaux Ausone et Cheval Blanc. A partir de cet instant, la notoriété de ce cru réservé aux initiés commence à se développer et le concept de vin de garage entre rapidement dans les mœurs. Riche d’un succès international, le vignoble de Valandraud est étendu par l’achat de plusieurs parcelles qui lui font atteindre les 10 hectares en 2012. La même année, la commission au classement des vins de Saint-Emilion récompense la famille Thunevin de ses efforts avec la promotion de 8.88 hectares de la propriété en 1er Grand Cru Classé de Saint-Émilion.
Terroir d’exception, rendement faible, vendanges manuelles, et vinification jalousement étudiée, rien n’est laissé au hasard au Château Valandraud qui devient une référence Bordelaise au niveau mondial. Jean-Luc Thunevin étaye ce mythe en innovant constamment voir trop au goût de l’INAO comme en 2000 lorsqu’il décide de bâcher une parcelle pour éviter que les pluies ne détériorent sa vigne avant les vendanges. Rappelé à l’ordre il produira alors « l’interdit de V…D ».
Malgré un millésime difficile dans le Bordelais, l’ambition est déjà annoncée : rivaliser avec les prestigieux Grands Crus du Libournais. Naît alors le concept de vin de niche plus familièrement nommé « vin de garage » avec une quantité confidentielle de 1 500 bouteilles produites soit tout juste 125 caisses. Ils ne le savaient pas encore avec certitude, mais les Thunevin venaient de créer un concept et surtout d’écrire la genèse d’un vin hors du commun.
En 1995, soit tout juste quatre ans après le premier millésime produit, les notes de Robert Parker atteignent celles des Châteaux Ausone et Cheval Blanc. A partir de cet instant, la notoriété de ce cru réservé aux initiés commence à se développer et le concept de vin de garage entre rapidement dans les mœurs. Riche d’un succès international, le vignoble de Valandraud est étendu par l’achat de plusieurs parcelles qui lui font atteindre les 10 hectares en 2012. La même année, la commission au classement des vins de Saint-Emilion récompense la famille Thunevin de ses efforts avec la promotion de 8.88 hectares de la propriété en 1er Grand Cru Classé de Saint-Émilion.
Terroir d’exception, rendement faible, vendanges manuelles, et vinification jalousement étudiée, rien n’est laissé au hasard au Château Valandraud qui devient une référence Bordelaise au niveau mondial. Jean-Luc Thunevin étaye ce mythe en innovant constamment voir trop au goût de l’INAO comme en 2000 lorsqu’il décide de bâcher une parcelle pour éviter que les pluies ne détériorent sa vigne avant les vendanges. Rappelé à l’ordre il produira alors « l’interdit de V…D ».
Résultats : 18 vins : ( 8 millésimes / 2 appellations )
Château Valandraud 2016
1er Grand Cru Classé de Saint-Émilion
-
Saint-Émilion Grand Cru
- 0,75L
98 /100
J.Suckling
★★★
Hachette
Primeur
Produit épuisé
Virginie de Valandraud 2016
2nd vin
-
Saint-Émilion Grand Cru
- 0,75L
92 - 93 /100
J.Suckling91 - 93 /100
Wine Advocate
Primeur
Produit épuisé
